Sujet: Moi je vais rester là pour raviver le feu parce que des fois il se déravive. FEAT PARIS Sam 6 Aoû - 9:59
Ce matin là, je n’avais qu’une envie, me réfugier dans ses bras. Malheureusement, il était déjà partit. Nous avions basé notre relation non pas sur les sentiments, mais sur le sexe. Et dieu sait qu’il est bon dans ce domaine. On s’est arrangé, et finalement, il est venu habiter chez moi. Ça fonctionne un peu comme des colocataires, mais avec le sexe en plus. Quand je me suis levée, je suis partie en direction de la douche, me préparé pour le retour de Paris. Je savais qu’il revenait aux alentours de quinze heures. Après ma douche, mon heure de préparation dans la salle de bain, il me restait encore une heure et demie à attendre le retour de mon dieu du sexe. J’ai donc décidé de regarder un film en attendant. J’avais opté pour le film d’action Wanted. J’aime beaucoup Angelina Jolie, bien qu’elle soit mariée à Brad Pitt. Lui par contre, je le déteste, avec on air de je suis le plus beau et je l’assume. Ça a le don de m’énerver. Une heure après le début du film, j’entendis sa voiture arrivé dans le garage. C’était mon moment préféré de la journée. Heureusement que ce jour-là, je n’avais pas cours. En petite tenue et allongée sur le canapé avec une position sexy, je l’attendais. Quand il passa la porte, j’aperçus de la surprise dans ses yeux, puis du bonheur et enfin, de l’excitation. J’avais réussi mon coup, et j’en étais fière. « Tu aime ? » Je me levais, avançais doucement vers lui, puis, commença à l’embrasser, d’abords sur son coup, puis sur sa joue et enfin sur sa bouche. Je lui enlevais peu à peu ses vêtements, sa veste tout d’abords, puis le reste. Il finissait finalement en caleçon et en chaussettes, alors que moi, j’étais toujours en petite tenue. Je lui sautais dessus, envoyant mon signe que j’avais envie de lui, maintenant. Et je savais qu’il n’allait pas décliner cette invitation.
Sujet: Re: Moi je vais rester là pour raviver le feu parce que des fois il se déravive. FEAT PARIS Dim 21 Aoû - 0:34
Je m’étais réveillé aux aurores ce matin-ci. J’avais eu besoin de marcher, et de marcher encore. Malheureusement, la maison d’Abby – ma compagne sexuelle – n’avait pas suffit à mes insomnies, il avait fallu que je me prépare et que je parte, je n’avais pas pu faire autrement pour calmer mes angoisses. Quelles angoisses ? Mes sentiments. Ouais je flippais des sentiments que je développais de plus en plus pour Abby. Ils étaient un peu paumés ces putains de sentiments là, ce n’était pas du sérieux, ce n’était pas de l’amour, mais je m’attachais beaucoup à elle dirons-nous, et ça m’effrayait beaucoup. Assis contre un mur, dans une rue paumée – comme la plupart des rues d’ici – j’écoutais de la musique, et je m’endormais, tristement et salement comme un sans domicile. Malgré le manque de confort, j’avais réussi à dormir quelques minutes qui ne suffirent bien sûr pas à me combler niveau heures de sommeil. J’étais donc rentré, pour essayer de récupérer, mais à l’hôtel, avant de partir pour la maison de mode où je travaillais. Tout se passa très bien, les défilés à venir étaient presque prêts, il fallait bien sûr finaliser toutes les tenues, revisiter les décors et la musique car à ce niveau-ci, on pouvait toujours mieux faire, mais les tenues étaient toutes plus belles les unes que les autres, ce n’était pas le genre de la maison, de faire des choses moches et impossibles à porter, heureusement d’ailleurs, sinon je n’en serais pas le mannequin principal, et encore moins l’effigie de la marque, quelle horreur. Une fois que tout fût fini, je pris la route de chez Abby, j’avais besoin de la voir, de prendre ses courbes dans mes bras, de sentir ses cheveux, ses mains toucher mon corps, de m’appeler par de gentils surnoms quant à mes prouesses au lit. À peine la porte fut franchie que je vis la jeune femme m’attendant docilement sur le divan, de façon très chaude. « Tu aime ? » me dit-elle avant de se lever et d’avancer doucement vers moi pour m’embrasser. Elle s’avait comment me faire plaisir. Elle savait que j’adorais les bisous dans le coup, ce qu’elle fit d’ailleurs très bien, comme d’habitude. Elle enlevait mes vêtements lentement, un à un, en passant par ma veste, mon t-shirt, mon jean, mais elle oublia volontairement mes chaussettes et mon caleçon. J’avais envie d’elle maintenant, moi qui comptais aller dormir. « J’ai pas dormi de la nuit, je comptais aller dormir, mais bon… Tu viens avec moi dans la chambre ? dis-je en l’emmenant tendrement par la main vers moi avant de lui déposer de tendres baisers dans le coup en caressant son dos de mes mains.
Moi je vais rester là pour raviver le feu parce que des fois il se déravive. FEAT PARIS